Dans le cadre du projet EU-SOL financé au titre du domaine thématique «Qualité et sûreté alimentaires» du sixième programme-cadre (6e PC), des chercheurs américains et israéliens viennent d’identifier une mutation génétique de la tomate, pouvant accroître le rendement des tomates jusqu’à 60%.
Il s’agit d’une modification qui concerne la « florigène », hormone végétale qui favorise la floraison, et qui permet d’optimiser la production de fleurs, en un temps réduit.
L’étude avait également comme objectif de mettre en évidence le phénomène da la vigueur hybride faisant référence au fait que les descendants de parents génétiquement différents seraient plus productifs que les descendants de parents semblables.
Il est à savoir que l’effet de la mutation florigène a été observé dans différentes variétés de tomates et dans différents climats et conditions pédologiques.
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